De retour d'un happy hour, les Casseurs Flowters font un hymne à la beuverie à base de jeu de mots sur leur état d'ébriété.
Orelsan : J’ai fait le son de celui-là et de « La Mort Du Disque ». On n’avait jamais fait de vraie chanson sur l’alcool. Dans le rap il y en a plein, et je les adore. Sur l’alcool ou le shit en fonction des goûts. On voulait en parler à notre façon. Ça ne parlera pas forcément aux gens de Paris mais ceux de Caen ou de Rennes qui ont trainé dans ces rues étudiantes, enchainé les bars, sont sortis les jeudis, vendredis, samedis, eux ils savent. Les gens qui ne boivent pas d’alcool comme nous on le fait ne peuvent pas comprendre des trucs comme « Je commande la moitié du bar avant d’entendre la cloche ». On chante des chants de marins ! On s’est inspiré du film de kung-fu Drunken Master, quand le mec chante « Je déteste mon père », on a refait un peu le même truc