ce morceau constitue à la fois une continuité et une référence au morceau “crépuscule”, introduction de NUIT sorti en septembre 2018.

D'une part le format est le même pour ces deux musiques : morceau court, kické, où Jazzy Bazz se livre de manière crue et presque violente envers lui même.

Ensuite, au niveau du texte, les références qu'on peut retrouver dans ce morceau par rapport à crépuscule sont les suivantes :

“Sept-cinq-zéro, dix-neuvième zone
J'ai l'talent pour raconter la routine et qu'ça devienne chaud”

qui ressemble dans le fond à :

“J'suis toujours dans le dix-neuvième, j'me pète toujours la tête au rhum J'serai un vrai bonhomme quand j'saurai dire "je t'aime”“ de crépuscule.

“J'pensais m'être frayé un chemin, en fait, c'est un circuit fermé”

qui ressemble également à cette phase de crépuscule :

“j'mets des grands chassés dans une porte d'entrée
Qui en réalité est une sortie de secours”

Enfin, sa référence à Dieu dans les deux musiques confirme la ressemblance/continuité entre D.ieu :

“Mon instinct m'dit que Dieu existe, j'ai pas besoin de preuves”

et crépuscule :

“J'remercie Dieu car j'serais rien sans la musique (rien)”