facile à écrire, peut-être mon morceau le plus facile, je crois bien que je n'ai eu à aucun moment besoin de réfléchir lors de l'écriture, ce qui s'explique par son format complètement déstructuré. mon seul regret c'est le mixage, ou l'enregistrement? je parle du nez et c'est immonde. j'ai longtemps voulu ne jamais le sortir, trop personnel, trop vrai, trop concret, mais finalement j'ai choisi de vous partager le morceau que j'aime le moins réécouter de ma discographie, et même de mes disques durs. en ce soir de 3 octobre, je me permet de vous recommander “adagio for strings” de samuel barber, et je vous remercie pour tout le reste.